Valérie, Jacky, Françoise et Joël

Valérie Auffret, Jacky Sorin, Françoise Bazin-Gasperin, gestionnaires financiers et Joël Toupin, responsable du service des affaires financières et juridiques à Rennes

 

Prise de conscience / Respect de l’environnement / Esprit d’équipe

 

«Il y a de nombreuses années, nous avions mis en place une collecte de papiers dans nos locaux rennais, cette action a été reprise et développée depuis. 

Nos comportements quotidiens intègrent désormais différentes actions telles que l’utilisation des transports en commun, le covoiturage quand cela est possible, le nettoyage de nos boites mails, ne pas imprimer inutilement, le tri du papier, la mise en veille des PC pendant les pauses, l’extinction des lumières, le recours aux réunions en visio plutôt qu’en présentiel…

La mise en place de la dématérialisation en matière financière a supprimé l’envoi des factures papier. Leur acheminement, leur traitement et leur archivage est désormais fait numériquement.

Sur la base des enquêtes sur les dépenses de viabilisations à l’INSPÉ, nous avons peu à peu mis en relation les évolutions des consommations avec les travaux, évènements, messages d’économie diffusés.

Au sein de l’équipe du SAFIJ, nous passons beaucoup de temps à analyser et prévoir nos dépenses, mais, dans nos logiciels actuels, nous n’avons pas encore d’informations à renseigner en matière de développement durable dans nos logiciels pour nous permettre d’apprécier, de quantifier les efforts réalisés, de mesurer l’impact des travaux réalisés (calorifugeage, remplacement des chaudières, remplacement des ampoules par des LED, gestions des copieurs, du matériel informatique…), des dispositifs mis en place (éco-tri, poids de nos poubelles, marchés intégrant les contraintes environnementales, achat de téléphones avec un fort indice de réparabilité…) par les différents acteurs.»

«Des collectivités ou des entreprises peuvent annoncer des réductions de leurs émissions de gaz à effet de serre ainsi que des tonnes de CO2 économisées grâce à leurs actions ou leurs investissements. Pour notre institut, pour l’instant, nous ne sommes pas capables de traduire nos actions dans ces termes. Nous avons donc sûrement à progresser dans ce domaine.

Depuis des années nous collectons des données sur la viabilisation sans qu’elles soient valorisées ni vraiment accessibles. Les travaux réalisés dans nos locaux (isolation, remplacement des éclairages énergivores…) ne sont pas vraiment mis en valeur. Mais ces initiatives s’inscrivent déjà totalement dans une dynamique écologique positive.

En matière de comptabilité carbone, des évolutions sont attendues, un groupe de travail ministériel a été constitué pour l’enseignement supérieur, il est chargé de proposer la mise en place d’une comptabilité carbone.»

 

"Il faut identifier les données à utiliser, mettre au point une méthode de calcul pour permettre la production des bilans d’émission de gaz à effet de serre."